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L’obtention d’un prêt immobilier auprès d’une banque est conditionnée par la souscription à un service d’assurance. Il faut en effet que les emprunteurs garantissent leur solvabilité vis-à-vis de l’institution financière. Ainsi, en cas de décès, d’invalidité ou de perte d’emploi, l’assureur prendra à sa charge le remboursement de tout ou partie de la somme empruntée. Pour ce faire, les banques proposent souvent elles-mêmes un contrat d’assurance dénommé « contrat de groupe ». Il s’agit d’une assurance de prêt qui répartit les risques entre tous les assurés, grâce à une couverture standard. Ainsi, des cas marginaux de maladie psychologique ou psychiatrique par exemple sont exclus du contrat de groupe. Comment parvenir alors à souscrire pour une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique ?
Rappel sur les principales pathologies mentales
Selon leur gravité, les maladies affectant la personnalité et l’équilibre mental peuvent constituer un véritable frein à l’octroi d’un prêt immobilier. Ces maladies ont plusieurs voies de manifestation et induisent souvent des souffrances intenses à leurs victimes. Certaines sont passagères, d’autres sont chroniques et dégénèrent avec le temps. Leur origine est diverse et variée, allant d’événements traumatiques conjoncturels à des facteurs biologiques. Les troubles mentaux, qu’ils soient passagers ou étalés dans le temps, se soignent en recourant à des professionnels avertis. Ainsi, l’alcoolisme, l’anorexie, la dépression, les troubles bipolaires ou ceux liés au sommeil nécessitent le recours à un médecin traitant. Les personnes de cette classe qui souhaitent contracter un emprunt immobilier doivent alors au préalable souscrire à une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique.
La liberté de choisir votre assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
Les clients ayant un passif de maladies psychologiques ou psychiatriques sont considérés par les banques assurances comme des cas à risque aggravé. Le législateur a alors voté des lois pour leur permettre de souscrire à une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. La loi Lagarde du 1er septembre 2010 reconnait ainsi aux emprunteurs le droit de choisir leur assurance de prêt. Il s’agit d’une « délégation d’assurance » qui permet de désigner un assureur autre que celui proposé par la banque emprunteuse. Pour cela, le niveau de garantie du contrat délégué doit être au moins équivalant à celui du contrat initialement proposé par la banque. Vous avez ainsi toute la liberté de rechercher une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique adaptée à votre situation.
Savoir faire jouer la concurrence pour une meilleure assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
Certaines compagnies qui proposent une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique ont tendance à demander une surprime. Il importe donc d’explorer la concurrence, vu que les offres tarifaires peuvent significativement varier. Il est en outre bien établi que les banques assurances n’offrent pas les meilleures solutions pour une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. Le choix doit donc être fait parmi des assureurs « externes ».
Dans le souci d’offrir encore plus de liberté de choix d’un assureur prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique, la loi Hamon apporte un droit supplémentaire. Il est désormais possible de changer son assureur immobilier, même après avoir contracté le prêt près de votre banque au cours des 12 derniers mois.
Les offres de garanties d’une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
Les personnes avec un passif psychiatrique doivent atteindre un seuil de garantie important, avant l’octroi d’un prêt immobilier. Selon le type d’affection mis en cause, la banque exigera notamment :
- la Garantie décès qui oblige l’assureur, en cas de décès de l’assuré, de rembourser tout ou partie du montant dû à la banque. Les héritiers du défunt sont donc protégés de toute transmission de passif. Cette garantie est en outre indispensable pour souscrire à une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique ;
- la Garantie Perte Totale et Irréversible d’Autonomie (PTIA) où l’assureur garantit le remboursement des mensualités de l’assuré, en cas de perte définitive d’autonomie de ce dernier ;
- la Garantie IPP en cas d’invalidité partielle ou permanente. Elle s’applique quand le taux d’invalidité de l’assuré est supérieur ou égal à 33% ;
- la Garantie incapacité temporaire totale de travail (ITT) pour les cas d’arrêt de travail sur une période donnée ;
- la Garantie perte d’emploi qui couvre les situations de perte d’emploi d’une durée souvent inférieure à 2 ans.
L’étape du questionnaire de santé
Lors de la souscription pour une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique, un questionnaire médical doit être rempli. Le médecin-conseil de l’assureur pourra accessoirement exiger un bilan médical complémentaire, avec certificat signé par votre psychiatre. Il est important que le certificat vous dédouane de tout risque de rechute, ou rassure de votre suivi rigoureux par le médecin. Vous éviterez ainsi toute surprime ou des exclusions sur les garanties.
La santé mentale est donc un critère déterminant dans les termes du contrat d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. Un risque aggravé de rechute ou de dégradation de votre psychique compromettra fortement toute chance d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. D’où la nécessité de comparer les offres d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique qui sont disponibles sur le marché.
Notons qu’en 2007 fut adoptée la convention AREAS (s’assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé). Il s’agit d’un dispositif qui aide les personnes victimes actuelles ou passées de problèmes de santé sérieux, à obtenir une assurance prêt immobilier maladie. C’est donc un acquis positif dont peuvent se prévaloir les personnes cibles, pour augmenter leurs chances d’êtres assurées.
Les taux d’une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
L’estimation du montant de la prime d’assurance peut être faite grâce à un simulateur d’assurance. En recourant à des experts en assurance de prêt, vous saurez ainsi à quoi vous attendre pour une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. Ces experts vous aident à établir un devis indicatif qui prend en compte toutes les conditions du crédit, à l’exception de votre dossier médical. Cette première estimation est donc à minima, vu que l’évaluation du risque par l’assureur peut varier.
Si par exemple vous avez une surprime, votre devis indicatif connaitra alors une hausse dans une fourchette de 25% à 300%. La surprime peut concerner tout ou partie des garanties dont vous avez besoin. Pour éviter de se retrouver pris dans un gouffre financier, il est fortement recommandé de recourir à un professionnel de l’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. Ce dernier saura trier et comparer les meilleures offres d’assurance, afin d’en extraire les moins coûteuses et les plus complètes. Ainsi, vous avez le choix entre :
- Choisir une autre demande d’adhésion en délégation d’assurance, afin de maximiser vos chances d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique ;
- Refuser le devis de la société d’assurance et solliciter une nouvelle réévaluation qui tient compte d’un nouveau bilan médical ;
- Négocier votre prime d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique, en cas de circonstances favorables.
Le courtier en assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
Des études montrent que 15% des emprunteurs ont un antécédent médical, sans aucun suivi pour l’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. Si vous êtes dans le cas et craignez des problèmes lors du contrat d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique, sachez que vous n’êtes plus seuls. Les experts en assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique sauront répondre à vos moindres questions. Ainsi, vos démarches de souscription connaitront très probablement une fin heureuse.
Des partenariats gagnants
L’avantage qu’il y a à recourir à des expertes en assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique tient dans ce que ces derniers ont des réseaux qui seront mis à votre service. Il s’agit notamment de partenariats exclusifs avec les assureurs et réassureurs les plus compétitifs du secteur. Ces experts sauront sélectionner pour vous, les meilleures grilles de tarification de risque médical. L’expertise, l’efficacité et la simplicité de ces cabinets d’experts en assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique s’avèrent donc indispensables.
Les formalités qu’exige une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
Avant d’obtenir une assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique, vous devez :
- Répondre à un questionnaire de santé pour assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. Les réponses que vous donnerez devront être aussi justes, claires et complètes que possible. En cas de doute, n’hésitez pas à recourir aux conseils de nos professionnels. Il est en outre nécessaire de fournir ses dossiers de consultations ou de bilans antérieurs ;
- Subir une visite médicale si le montant du prêt que vous sollicitez est très important. Là encore, certaines attitudes sont à avoir, et votre équipe d’experts saura vous donner les bons conseils.
La conduite à tenir en cas de refus d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique
Il est possible que vous essuyiez un refus d’assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique. En principe, cela est sans gravité et ne remet pas en cause la qualité de votre dossier. La conduite à tenir dans ce genre de situations est la suivante :
- Recourir aux services gratuits d’experts en assurance prêt immobilier maladie psychologique et psychiatrique ;
- Demander un nouvel examen de votre dossier en cas de doute sur le sérieux dans son traitement ;
- Recourir à la convention AERAS.